Expériences bulgares
Par Yegor Ganin et Brice Regts, MLL 215 Intermediate French I
Lou et Justine sont deux étudiantes francophones qui sont arrivées en Bulgarie pour étudier à l’AUBG l’année dernière. Lou est française, elle fait ses études à Sciences Po Bordeaux. Justine est belge, elle fait un Master en « International Business Management » à Heriot Watt University en Ecosse. Nous avons interviewé les filles sur leurs expériences en Bulgarie et à l’AUBG.
Justine : « Je suis allée en Bulgarie parce que j'ai voulu devenir autonome et indépendante »
Les filles ont eu des raisons différentes pour partir. Elles ont présenté plusieurs motivations, mais en voici les plus intéressantes. « Je suis allée en Bulgarie parce que j'ai voulu devenir autonome et indépendante », confesse Justine. En Belgique, elle vit avec sa famille. Il est intéressant aussi que, selon Lou, la Bulgarie n’était pas son premier choix, mais elle reviendrait dans le pays si l’occasion se présentait de nouveau.
En fait, Justine a choisi de partir en Bulgarie pour son université américaine. Elle avait la possibilité d’étudier dans une université américaine en Europe. Justine révèle que le coût de la vie l'a attirée beaucoup car c’est moins cher qu’en Belgique. D'ailleurs, après 4 mois passés en Bulgarie, elle peut dire que le temps en Bulgarie était parfait et bien mieux qu’en Belgique.
Blagoevgrad et le charme de ses bâtiments communistes
Lou trouve que les bâtiments communistes ont un charme particulier. Pour elle, Blagoevgrad et surtout sa vieille ville est trop jolie. Elle pense de Westerns quand elle voit les bâtiments à Blagoevgrad. Une chose très intéressante est que, selon Lou, les Bulgares aiment leur pays mais disent qu’ils veulent partir dès que possible.
Pour Justine le seul problème était vraiment la rue commerçante où elle ne trouvait absolument rien. « Heureusement pour nous, Sofia n’était qu’à 1h30 en bus et là-bas, il y avait des centres commerciaux », raconte Justine. Selon elle, c’était également l’occasion de visiter la capitale et de passer un bon moment là-bas.
Restez calme et dégustez une banitsa
Lou a aimé beaucoup les banitsas en rentrant de la boîte 'Underground', les pileshki hapkis croustillants, une salade chopska. Cependant, si on peut vraiment dire que c’est Bulgare, elle recommande aussi un café frappé à Prego.
Et pourtant, les choses les plus intéressantes se passent quand les filles sortent. Lou est un peu discrète quand elle parle de sortir. Elle a fait beaucoup de choses folles. Elle nous a donné deux exemples. Elle a sauté la rivière une fois et a escaladé la montagne à 5h du matin jusqu’à la croix une fois aussi.
Justine n’a pas vraiment eu d’expérience folle mais son meilleur souvenir en soirée est celui-ci:
« Pour l’anniversaire d’une de mes amies, nous sommes allées au restaurant avec 2 étudiants bulgares. Après le restaurant, ils ont décidé de nous emmener au club “The Face” pour écouter de la “chalga” et ce fut une de mes meilleures soirées à Blagoevgrad. On a découvert cette musique qu’on ne connaissait pas et qu’on a adoré, on a appris à danser comme les bulgares et on a même jouer du tambourg. Cette soirée est inoubliable et après on ne sortait plus que là ».
Par Yegor Ganin et Brice Regts, MLL 215 Intermediate French I
Lou et Justine sont deux étudiantes francophones qui sont arrivées en Bulgarie pour étudier à l’AUBG l’année dernière. Lou est française, elle fait ses études à Sciences Po Bordeaux. Justine est belge, elle fait un Master en « International Business Management » à Heriot Watt University en Ecosse. Nous avons interviewé les filles sur leurs expériences en Bulgarie et à l’AUBG.
Justine : « Je suis allée en Bulgarie parce que j'ai voulu devenir autonome et indépendante »
Les filles ont eu des raisons différentes pour partir. Elles ont présenté plusieurs motivations, mais en voici les plus intéressantes. « Je suis allée en Bulgarie parce que j'ai voulu devenir autonome et indépendante », confesse Justine. En Belgique, elle vit avec sa famille. Il est intéressant aussi que, selon Lou, la Bulgarie n’était pas son premier choix, mais elle reviendrait dans le pays si l’occasion se présentait de nouveau.
En fait, Justine a choisi de partir en Bulgarie pour son université américaine. Elle avait la possibilité d’étudier dans une université américaine en Europe. Justine révèle que le coût de la vie l'a attirée beaucoup car c’est moins cher qu’en Belgique. D'ailleurs, après 4 mois passés en Bulgarie, elle peut dire que le temps en Bulgarie était parfait et bien mieux qu’en Belgique.
Blagoevgrad et le charme de ses bâtiments communistes
Lou trouve que les bâtiments communistes ont un charme particulier. Pour elle, Blagoevgrad et surtout sa vieille ville est trop jolie. Elle pense de Westerns quand elle voit les bâtiments à Blagoevgrad. Une chose très intéressante est que, selon Lou, les Bulgares aiment leur pays mais disent qu’ils veulent partir dès que possible.
Pour Justine le seul problème était vraiment la rue commerçante où elle ne trouvait absolument rien. « Heureusement pour nous, Sofia n’était qu’à 1h30 en bus et là-bas, il y avait des centres commerciaux », raconte Justine. Selon elle, c’était également l’occasion de visiter la capitale et de passer un bon moment là-bas.
Restez calme et dégustez une banitsa
Lou a aimé beaucoup les banitsas en rentrant de la boîte 'Underground', les pileshki hapkis croustillants, une salade chopska. Cependant, si on peut vraiment dire que c’est Bulgare, elle recommande aussi un café frappé à Prego.
Et pourtant, les choses les plus intéressantes se passent quand les filles sortent. Lou est un peu discrète quand elle parle de sortir. Elle a fait beaucoup de choses folles. Elle nous a donné deux exemples. Elle a sauté la rivière une fois et a escaladé la montagne à 5h du matin jusqu’à la croix une fois aussi.
Justine n’a pas vraiment eu d’expérience folle mais son meilleur souvenir en soirée est celui-ci:
« Pour l’anniversaire d’une de mes amies, nous sommes allées au restaurant avec 2 étudiants bulgares. Après le restaurant, ils ont décidé de nous emmener au club “The Face” pour écouter de la “chalga” et ce fut une de mes meilleures soirées à Blagoevgrad. On a découvert cette musique qu’on ne connaissait pas et qu’on a adoré, on a appris à danser comme les bulgares et on a même jouer du tambourg. Cette soirée est inoubliable et après on ne sortait plus que là ».