Revue de presse de la semaine 16 - 20 février réalisée par Svetlana, Dayana et Alen
Au menu de cette revue de presse, il y a le nouvel accord conclu entre le gouvernement grec et les autres pays de l’UE. Le compromis stipule que le plan actuel d’aide se prolonge quatre mois en plus. Cela diminuera la pression fiscale sur Athènes et permettra à M. Tsipras d’effectuer une partie de ses engagements électoraux, selon La Croix.
En même temps, Le Monde parlait d’une « crise évitée », pendant laquelle le FMI et l’Eurogroupe ont travaillé beaucoup pour trouver un terrain d’entente entre les Allemands et les Grecs. En conclusion, cet accord a été seulement conclu au prix de grandes concessions des deux parties, et aussi de la perte de confiance.
En dehors de cela, à la une de la presse française, cette semaine, « Nous ne voulons pas de femmes voilées ».
D’après Le Monde, Nicolas Sarkozy, le président de l’UMP, a affirmé jeudi sur Europe 1 qu’il ne voulait « pas de femmes voilées », au nom de « l’égalité » entre les hommes et les femmes. Son parti avait déjà manifesté son opposition quant au port de la burqa, le voile islamique intégral à l’université. Une représentation objective des actions de Sarkozy contre les femmes voilées et son opposant - le Front national. Le point signale un conflit, parce que le membre du Front national a accusé Nicolas Sarkozy de "flagrant délit de mensonge" après ses propos sur les femmes voilées. Le journal évoque qui Sarkozy a oublié que lors d’un discours à Caen, il déclarait: “en France une jeune fille qui veut porter le voile, peut le faire".
En conclusion, les nouvelles de l’éducation. Le 17 février, l’Humanité a rapporté que dans une petite ville de Haute-Vienne plus de 50 classes n’avaient pas pu faire cours parce qu’il n’y avait pas de remplaçants. Les enseignants estiment qu’il manque une cinquantaine de remplaçants pour répondre aux besoins des écoles du département. D’après Metro News, « alors qu’il leur faudrait 160 profs remplaçants pour répondre aux besoins, il n’y en a que 105 ». Le journal rapporte que cette situation conduit aujourd’hui les syndicats d’enseignants du département à demander un "plan de rattrapage des effectifs". Vraiment, la situation pourrait s’aggraver ainsi la rentrée prochaine, 180 élèves supplémentaires sont attendus dans les écoles de Haute-Vienne.
Ce sont les principales nouvelles des derniers sept jours. Nous vous souhaitons une bonne et productive semaine.
Au menu de cette revue de presse, il y a le nouvel accord conclu entre le gouvernement grec et les autres pays de l’UE. Le compromis stipule que le plan actuel d’aide se prolonge quatre mois en plus. Cela diminuera la pression fiscale sur Athènes et permettra à M. Tsipras d’effectuer une partie de ses engagements électoraux, selon La Croix.
En même temps, Le Monde parlait d’une « crise évitée », pendant laquelle le FMI et l’Eurogroupe ont travaillé beaucoup pour trouver un terrain d’entente entre les Allemands et les Grecs. En conclusion, cet accord a été seulement conclu au prix de grandes concessions des deux parties, et aussi de la perte de confiance.
En dehors de cela, à la une de la presse française, cette semaine, « Nous ne voulons pas de femmes voilées ».
D’après Le Monde, Nicolas Sarkozy, le président de l’UMP, a affirmé jeudi sur Europe 1 qu’il ne voulait « pas de femmes voilées », au nom de « l’égalité » entre les hommes et les femmes. Son parti avait déjà manifesté son opposition quant au port de la burqa, le voile islamique intégral à l’université. Une représentation objective des actions de Sarkozy contre les femmes voilées et son opposant - le Front national. Le point signale un conflit, parce que le membre du Front national a accusé Nicolas Sarkozy de "flagrant délit de mensonge" après ses propos sur les femmes voilées. Le journal évoque qui Sarkozy a oublié que lors d’un discours à Caen, il déclarait: “en France une jeune fille qui veut porter le voile, peut le faire".
En conclusion, les nouvelles de l’éducation. Le 17 février, l’Humanité a rapporté que dans une petite ville de Haute-Vienne plus de 50 classes n’avaient pas pu faire cours parce qu’il n’y avait pas de remplaçants. Les enseignants estiment qu’il manque une cinquantaine de remplaçants pour répondre aux besoins des écoles du département. D’après Metro News, « alors qu’il leur faudrait 160 profs remplaçants pour répondre aux besoins, il n’y en a que 105 ». Le journal rapporte que cette situation conduit aujourd’hui les syndicats d’enseignants du département à demander un "plan de rattrapage des effectifs". Vraiment, la situation pourrait s’aggraver ainsi la rentrée prochaine, 180 élèves supplémentaires sont attendus dans les écoles de Haute-Vienne.
Ce sont les principales nouvelles des derniers sept jours. Nous vous souhaitons une bonne et productive semaine.