Revue de presse de la semaine du 15 - 21 février
Le redressement fiscal de Google est un exemple de la loi de la jungle.
D’abord, France-Soir a annoncé que “le géant américain du Web,” Google, était sous le coup d'une enquête du fisc français depuis deux ans. Plus tôt dans édition de L’Humanité, dès 2011, la direction générale des impôts estimait que "la société Google Ireland Limited exerçait en fait en France en utilisant les moyens humains et matériels de la société Google France, une activité commerciale, sans souscrire les déclarations fiscales y afférentes". L’Humanité s’est déclaré qu’aujourd’hui à cette somme s’ajoutaient des pénalités de retard et une amende, soit 1,6 milliards. Michael Sapin, le minister de Finances français, avait d’allieurs déclaré que “les sommes réclamées par le fisc français à Google étaient "bien supérieures" à celles de l'accord conclu fin janvier par le moteur de recherche avec l'administration britannique.” La Tribune donne l’exemple de la citation suivante du Ministre: “Le fisc français ne négocie pas le montant des impôts.” France-Soir a confirmé que Google a déjà payé des impôts en Italie et au Royaume-Uni.
Sites consultés:
L’Humanité
La Tribune
France-Soir
Le redressement fiscal de Google est un exemple de la loi de la jungle.
D’abord, France-Soir a annoncé que “le géant américain du Web,” Google, était sous le coup d'une enquête du fisc français depuis deux ans. Plus tôt dans édition de L’Humanité, dès 2011, la direction générale des impôts estimait que "la société Google Ireland Limited exerçait en fait en France en utilisant les moyens humains et matériels de la société Google France, une activité commerciale, sans souscrire les déclarations fiscales y afférentes". L’Humanité s’est déclaré qu’aujourd’hui à cette somme s’ajoutaient des pénalités de retard et une amende, soit 1,6 milliards. Michael Sapin, le minister de Finances français, avait d’allieurs déclaré que “les sommes réclamées par le fisc français à Google étaient "bien supérieures" à celles de l'accord conclu fin janvier par le moteur de recherche avec l'administration britannique.” La Tribune donne l’exemple de la citation suivante du Ministre: “Le fisc français ne négocie pas le montant des impôts.” France-Soir a confirmé que Google a déjà payé des impôts en Italie et au Royaume-Uni.
Sites consultés:
L’Humanité
La Tribune
France-Soir